Un petit générateur de roman

C'est trop marrant vous completez les champs et vous cliquez sur le bouton....vous obtenez une histoire lol
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Ptite Histoire
par CriCri

Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Nuriko embrumait Hokkan. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une intelligente voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Nuriko! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Nuriko! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Miaka? Fit Nuriko.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Nuriko! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Nuriko pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Puis il fixa Miaka. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Miaka...
Elle détourna la tête.
- Miaka, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Nuriko.
Mais les mots ne venaient pas... alors Miaka passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Miaka poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Nuriko en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela ne fait que quelques jours que nous nous sommes vus, et j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi intelligent à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Nuriko rougit. Il se sentait bien. Au loin, un cochon criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Embrassons-nous encore... souffla Nuriko.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Psyence'' de Hide. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Hokkan était loin. Ils virent passer un chêne, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Picasso. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Miaka, que la folie saisissait, se voyait manger au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Nuriko.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop doué pour que je te quitte, répondait Miaka. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Maxime . Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

" Pourtant j'avais pas mis qu'il c'était embrasser etc.... j'avais mis tout non ! les personnages vienne de Fushigi Yugi c'est tout ce que j'ai trouver ^^" "

En tous cas c'est amusant a faire non?

Et voilà la mienne :

L'étoile Filante
par Usagi Tsukino


Les cheminées fumantes enveloppaient Tokyo d'une brume artificielle, et firent tousser Seiya. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans comprendre, il fut face à la porte.

Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Tsukiyo, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si mystérieuse, répondit simplement Seiya.
- Tu viens? Fit gaiement Tsukiyo.
Seiya la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Tsukiyo.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Mais soudain, Tsukiyo se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Seiya sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Tsukiyo se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Une fois de plus, Seiya prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Nous nous connaissons depuis tant d'années... tu as tellement changé, depuis... et puis non, tu n'as pas tellement changé. Et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi charmant à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Seiya rougit. Il se sentait bien. Au loin, un faucon criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Tsukiyo pour saisir le bras de Seiya et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso, ou comme ''C'est La Vie'' de Ayaka Komatsu. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Seiya ferma les yeux et eut l'impression de aimer en haut d'un chêne. Et soudain tout s'arrêta.
- Si nous n'étions pas déjà mariés, je voudrais de nouveau t'épouser, dit Seiya.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Seiya.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop marrant pour que je te quitte, répondait Tsukiyo. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Mattias. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.



C'est trop beau

lol je trouve ca super mimi en tout cas les histoire sont différentes je trouve ca amusant

Moi j'adore^^

Tout à l'heure, j'ai fait un poème avec ma soeur, on était mortes de rire !

C'est genial ce truc...autrement je sais pas si vous avez vu mais ce site propose egalement un générateur d'accrostiches...
Keske c'est que ca? --->>> C'est un poeme qui ce sert de la premiere lettre de votre prénom

Exemple:

Mon coeur tonne quand il te voit
Inouï comme je peux t'aimer!
Ne vois-tu pas que je suis là?
Ayons pour nous l'éternité
Kamikazes armés de silence
Osons braver le temps trop long!

Kilos d'amour rien que pour toi
Avec toi tout semble plus gai
Western où le cowboy c'est toi
Ayons pour nous l'éternité
Imprégnés de vive impatience
Imagine ce ventre rond

c'est trop marrant ce truc voila ce que ca me fait avec Makoto Kino

Mon coeur tonne quand il te voit
Avec toi tout semble plus gai
Kaléidoscope de joies
Offrons au monde nos baisers
Ta vue, et c'est la défaillance
Osons braver le temps trop long

Kilos d'amour rien que pour toi
Inouï comme je peux t'aimer!
Ne vois-tu pas que je suis là?
Offrons au monde nos baisers

lol on retrouve les meme pharse si on a mis plusieur lettres pareilles

J'ai essayé avec Usagi Tsukino :


Une étoile brille, c'est toi je crois,
Sans toi je pourrais me tuer
Amour, amour, et-caetera...
Grisés d'un éther épuré
Imprégnés de vive impatience

Tu es ma flamme, dans tout ce froid
Sans toi je pourrais me tuer
Unique perle sous mes doigts
Kidnappons nos vies enlacées
Imprégnés de vive impatience
Ne nous posons pas de questions
Où commence la décadence?


C'est assez sympa^^

lol voici ce que ca donne en poéme avec Michiru

Je me perdais à chuchoter un bleus murmure
Lorsqu'une bouche, belle, vint m'émouvoir à l'extrême,
Deux sabres bleus, transperçant mon armure,
Des cheveux bleus, une auréole, même,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me faisant même toucher le ciel,
Tel un pigeon volant vers l'avenir,
Sifflant un songe presque réel.
L'oiseau ardent, Michiru, c'est moi
Et cette magnifique fée, qui dompte la vérité,
C'est toi, Michu, c'est toi...
C'est chez toi que mon coeur a frappé

C'est pas mimi ^^"

si ^^